26/02/2012

Bukowski, Ha Bukowski...





Quand elle m'a dit ce "non", j'aurais dû "insister" au lieu de me taire. Je lui avais demandé de vivre avec moi et ça l'avait touchée, j'en suis sûr. Dans cette histoire j'a été trop réservé, trop distant, trop flemmard. Je méritais de crever et je méritais sa mort. Je n'étais qu'un chien. Et là, j'insulte les chiens. Je me suis levé, j'ai déniché une bouteille de vin et je l'ai vidée comme une brute.... La nuit tombait lentement et c'était trop tard.




Les meilleurs meurent souvent de leur propre main
Juste pour se libérer
Et ceux qui restent
Ne comprennent jamais vraiment
Pourquoi
On voudrait
Se libérer
D’eux.

8 commentaires:

Cloasiz a dit…

J'aime !

Nuni a dit…

"Les meilleurs meurent souvent de leur propre main
Juste pour se libérer
Et ceux qui restent
Ne comprennent jamais vraiment
Pourquoi
On voudrait
Se libérer
D’eux. "

C'est vraiment bien dit...

Cloasiz a dit…

Ca vient d'où ?


( Charmant l'image ;p )

Nuni a dit…

La première partie ça vient d'un livre de Charles Bukowski et la deuxième partie c'est un de ses poème :)
Je ne suis pas certaine que son style plutôt cru te plaise mais il est marrant ^^

Oui, la photo révèle mon manque cruel d'inspiration ce soir ...

Cloasiz a dit…

Dis toujours le titre je verrais bien, j'aime lire des choses diffèrentes ;)

Thom Taff a dit…

La phrase est bien stylée ouai :p
La photo m'a fait peur! pauvre chat :(

Nuni a dit…

"Contes de la folie ordinaire" il me semble :) En tout cas j'ai bien aimé celui là!

Cloasiz a dit…

Je note, merci :)